Si à la Saint-Éloi tu brûles ton bois,
tu auras froid pendant trois mois
Saint(e) fêté(e) par l'Église catholique
Saint Eloi (+660)
Saint Eloi (+660)
Gallo-romain, « le bon saint Eloi » appartenait à une famille de paysans aisés qui travaillaient eux-mêmes leur domaine, à la différence de tant de grands propriétaires qui les faisaient cultiver par de nombreux esclaves. Il entra comme apprenti orfèvre dans un atelier où l’on frappait la monnaie royale selon les méthodes romaines anciennes. Ses qualités professionnelles allaient de pair avec une scrupuleuse honnêteté. Il a la confiance du roi qui lui demande de résider à Paris, comme orfèvre royal, fonctionnaire de la Trésorerie royale et conseiller à la cour. Nommé « monétaire » (fabricant de la monnaie de l’Etat) à Marseille, il rachètera de nombreux esclaves que l’on vendait sur le port. Rappelé à Paris, il reçoit, entre autres, la commande d’orner les tombes de sainte Geneviève et de saint Denis et réalise des châsses pour saint Germain, saint Séverin, saint Martin et sainte Colombe et de nombreux objets liturgiques pour la nouvelle abbaye de Saint-Denis. En 632, il fonde le monastère de Solignac au sud de Limoges et un an après, dans sa propre maison de l’île de la Cité, le premier monastère féminin de Paris dont il confiera la charge à sainte Aure. Ordonné prêtre, il devient évêque de Noyon et Tournai, un diocèse qui s’étend jusqu’à Courtrai, Gand et la Frise néerlandaise. Il tente, sans grand succès, d’évangéliser la région d’Anvers. Au travers de ses sermons, nous connaissons la situation religieuse de cette époque et les superstitions païennes qu’il rencontre. Il fait sienne la spiritualité de saint Colomban, le moine irlandais, et fonde de nombreux monastères. Nous le trouvons au concile de Chalon-sur-Saône et en Aquitaine, à Uzès et à Marseille. Il meurt en 660, à la veille de partir pour Cahors.
Agenda
Aucune information pour les 15 prochains jours
Préparation au baptême
Une rencontre pour tous les parents des futurs baptisés aura lieu tous les mois
le premier mercredi à 20h30
au centre paroissial de Serres-Castet
« Es-tu celui qui doit venir,
ou devons-nous en attendre un autre ? »
Matthieu 11, 3
« Chanter c’est prier 2 fois »
disait St-Augustin !
Alors afin de rendre encore plus priantes et festives nos célébrations, merci d’arriver 10
mn avant l’heure de la messe
et nous pourrons apprendre de nouveaux chants, ou mieux prier ceux que nous connaissons déjà
!
Voici la « Prière pour l’Unité des Chrétiens » de l’Abbé Paul COUTURIER (1881-1953), prêtre du diocèse de Lyon et promoteur de la semaine de prière pour l’unité des Chrétiens qui recommandait : « Prier pour l'Unité des Chrétiens, afin de demander à Dieu qu'elle se passe quand Il le voudra et comme Il le voudra ».
Il est un des pionniers de l’œcuménisme et contribue dès 1935 à poser les bases de l’œcuménisme d’aujourd’hui.
Le Concile Vatican II reprendra son intuition en soulignant que « la prière est l’âme du mouvement œcuménique ».
À quelles réduction d'impôts suis-je éligible après avoir donné à l'Église ?
Les dons des fidèles aux associations cultuelles bénéficient d'un taux de réduction d'impôt de
66%
La limite des dons déductibles d'impôts est plafonnée à 20% de vos revenus.
L'excédent éventuel est reportable sur les cinq années suivantes.
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64000 PAU